8 Sport Gordini (54)
La miniature

Informations
Collection
Mes remarques
Suite de la collection gordini j'attend la 12.
J'ai reçu ce modèle avec un phare en moins un mail à atlas et retour de vacance un deuxieme modèle renvoyé.
Je me suis emballé trop vite faut payer les 2
L'original
Présentation
8 Sport Gordini
Présentation au Salon de l’Auto de 1949 au Grand Palais. Réalisation par Facel-Métalon (carrosserie aluminium). Une version 1089 cm3, 32 ch. à 4000 tr/mn était aussi disponible. La version « Gordini » passe à 55 ch. à 5500 tr/mn.
Le 1221 cm3 « Gordini » développe 60 ch. à 5500 tr/mn. Numéros de série connus compris entre 849365 et 915794 pour 5165 exemplaires produits tous modèles confondus.
Palmarès en rallye :
Monte Carlo 1950 (22 janv. au 27 /1) : A. Gordini engage 2 Simca 8 Sport en 1221 cm3 et 4 Simca 8 (1 en 1221 cm3 et 3 en 1100 cm3). Départ de Monte Carlo via Grenoble, Berne, Strasbourg, Amsterdam, Bruxelles, Reims, Paris puis retour à Monaco soit 3100 kms !
3ième : Jean Behra/Julio Quilin n° 224 1ier catégorie 750 à 1100 cm3 Simca 8 Gordini 1100
4ième : José Scaron/R. »Pascal » n° 221 (3575 RS 2) 1ier cat. 1100 à 1500 cm3 Simca 8 Sport Gordini 1221
5ième : Eugène Chaboud/Marc Angelvin n° 222 (3574 RS 2) 2iè cat. 1100 à 1500 cm3 Simca 8 Sport Gordini 1221
Coupe des Dames : Germaine Rouault/Régine Gordine n° 236 Simca 8 Gordini 1221
: :
:
Carastéristique
Motorisation
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
Marque
Historique
Simca
France
Création de S.I.M.C.A.
Alors, que selon un rythme accéléré, on cassait la plupart des installations de cette usine, H.T. Pigozzi étudiait avec des juristes français, en liaison avec Fiat, la création d’une société de structure française. Celle-ci fut constituée le 2 novembre 1934, sous l’appellation :
Société Industrielle de Mécanique et de Carrosserie Automobile (S.I.M.C.A.).
Le siège social installé provisoirement au 66 rue Caumartin fut transféré trois semaines plus tard, 153 rue Danton à Levallois-Perret. L’effort d’industrialisation mené à un rythme record dans l’usine rachetée à Nanterre, permit de démarrer, sous licence, la production des 6cv FIAT dès le mois de juillet 1935. Peu de modifications avaient été apportées à ces berlines déjà connues en Italie sous le nom de Balilla.
Les modèles 11cv furent également fabriqués dans cette nouvelle usine.
Les voitures construites arborent sur la calandre un nouveau logo SIMCA licence FIAT, les enjoliveurs de roues portent un motif identique.
En 1936, la jeune firme française commença la production de la Simca Cinq, qui était en fait, la petite Fiat Topolino 3 cv, à carrosserie aérodynamique . Malgré les retards provoqués par les grèves du printemps 1936 le lancement de la Simca Cinq interviendra avant celui de la Topolino.
Ce modèle connut un grand succès, et sa production se poursuivit jusqu’en 1949.
Pour les voitures construites en 1936-37 et au premier trimestre 1938, le logo évolue, le nom Simca prend de l’importance.
1937, au salon de Paris d’octobre présentation de la Simca 8, soeur française de la « Nuova Balilla FIAT » 6cv, à carrosserie aérodynamique. Ce modèle allait poursuivre sa carrière jusqu’en 1951.
1938, au printemps l’hirondelle vient se nicher sur le nouvel écusson SIMCA et le slogan « un appétit d’oiseau » devient populaire pour la marque.
En 1958, le constructeur américain Chrysler devient actionnaire à 25 % de Simca en rachetant les 15 % du capital appartenant encore à la Ford Motor Company et en prenant 10 % supplémentaires. Simca fabrique alors 200 000 voitures par an et, toujours en manque de place rachète le constructeur Talbot pour son usine de Suresnes. En 1961, les dollars américains permettent à Pigozzi de lancer un nouveau projet - étudié chez Fiat - la Simca 1000. Les solutions techniques, dérivées de la Fiat 850, sont similaires à celles de la Renault R8 avec un petit 4 cylindres placé en porte-à-faux arrière dans une carrosserie cubique à trois volumes. Les modèles de présérie de la 1000 sortent des chaînes de Poissy en juillet 1961 et elle est présentée au salon de l'auto de Paris en automne. La Simca 1000 rencontre un long succès qui durera jusqu'en 1978, tandis que la gamme Vedette est arrêtée.
En 1963, Georges Héreil, ex-patron de Sud-Aviation (le constructeur des avions Caravelle) devient le nouveau P-DG de Simca et doit batailler ferme face à sa direction américaine pour défendre le projet de la nouvelle Simca 1100 (projet ébauché par Pigozzi à partir d'une étude Fiat qui sera commercialisée par sa filiale Autobianchi sous le nom de Primula). Les dirigeants ne veulent en effet pas engager d'argent pour étudier un nouveau véhicule alors que certains modèles de la gamme Chrysler pourraient être mis sur le marché français. Finalement Héreil obtient gain de cause et la Simca 1100 (hayon arrière et traction avant à moteur transversal) est lancée en 1967 : nouveau succès avec plus de 2 millions d'exemplaires vendus jusqu'en 1981.
En juillet 1970, la société Simca est renommée société Chrysler France, à la suite du rachat total du solde des actions encore détenues par Fiat par le constructeur américain. La marque Simca est cependant conservée sur les modèles jusqu'en 1980. Durant les années qui vont suivre, Chrysler Europe va négliger d'investir dans l'évolution de ses mécaniques et va rapidement se retrouver à bout de souffle.
En août 1978, Chrysler est contraint, pour survivre, de se replier aux États-Unis et donc de revendre l'ensemble de ses filiales européennes : Chrysler France (ex-Simca), Chrysler United Kingdom (ex-Rootes) et Chrysler España (ex-Barreiros). Elles sont reprises par Peugeot SA sous l'œil bienveillant - et avec l'aide - du gouvernement français. Pour la première fois de son histoire, Simca devient enfin 100 % française.
Mais, coup de théâtre : Peugeot SA décide de faire disparaître la marque Simca un an plus tard, en juillet 1979 (pour les modèles 1980), et de la remplacer par Talbot. Ce changement de nom de marque sera un très grand échec et la marque Talbot disparaîtra seulement six ans plus tard. Aujourd'hui l'usine de Poissy - ex-Ford SAF, ex-Simca, ex-Chrysler France, ex-Talbot - dont Enrico Teodoro Pigozzi était si fier, est toujours en pleine activité : elle produit des Peugeot, des Citroën et les nouvelles DS.
Fondateur
Enrico Teodoro Pigozzi
France
: :Il est directeur général de la Safaf (Société anonyme française des automobiles Fiat) de 1928 au 30 juin 1935, directeur général de la marque Simca (Société industrielle de mécanique et de carrosserie automobile) du 1er juillet 1935 à 1954, puis président-directeur général de 1954 à 1963 (année de la vente de Simca à Chrysler). Simca sera achetée à nouveau par le groupe PSA Peugeot Citroën en 1978, qui fera disparaître la marque.
Il est le père de Jean (Johnny) Pigozzi, photographe et collectionneur d'œuvres d'art et de Caroline Pigozzi, journaliste et écrivain.
Intervenant
Préparateur
Gordini
France
Gordini est une société fondée par Amédée Gordini, spécialisée dans la préparation d’automobiles principalement des marques Renault et Simca. La marque « Gordini » est la propriété de Renault depuis 1969. En 1937 Simca charge officiellement Gordini de préparer ses Simca 5 de 568 cm³ pour les Rallyes automobiles et toute une série de records du monde. La Simca 5 remporte les 24 Heures du Mans dans sa catégorie et bat le record du tour de l'autodrome de Montlhéry (4 950 kilomètres en 48 heures à la moyenne de 103 km/h avec le meilleur tour à 107 km/h). Cette performance incroyable sur les bases d'un simple 568 cm³ vaut à Amédée Gordini d'être surnommé « Le sorcier ». En 1938 et 1939 Gordini prépare les Fiat Millecento (1 100 cm³) qui s’imposent à nouveau au Bol d'or, Reims, Donington, Montlhery et Spa-Francorchamps... En 1945 Simca-Gordini renoue avec ses importantes séries de victoires et avec la gloire sportive internationale en Grand Prix automobile après une interruption des courses automobiles due à la Seconde Guerre mondiale. Les voitures bleues sont seules à porter les couleurs françaises après le retrait de Talbot et rivalisent avec les plus puissantes dont Ferrari, Maserati et Mercedes...(avec des pilotes de la trempe de Jean Trévoux par exemple, en 1949) En côte, la marque s'impose à quatre reprises consécutives lors de la course de côte du Mont Ventoux avec ses T11 et T15, de 1948 à 1952, grâce à Robert Manzon par trois fois, et à Maurice Trintignant (ainsi qu'à Fribourg -La Sonnaz- en juillet 1949, avec le Suisse Rudi Fischer sur T11 1.5L.). En 1957 Gordini est contraint d'abandonner définitivement la compétition individuelle à la suite d'importants problèmes de financement. Renault demande alors à Gordini de s'occuper de son département compétition et de préparer sa toute nouvelle Renault Dauphine en faisant passer son moteur de 30 à 38 ch avec deux carburateurs double corps pour 170 km/h en vitesse de pointe et 18 secondes au 400 mètres départ arrêté. Les Renault Dauphine Gordini remportent le Rallye automobile Monte-Carlo et le Tour de Corse de 1958. Gordini se consacre ensuite à la R8 Gordini avec son moteur de 1 108 cm³ (1964), puis de 1 255 cm³ (1966 - 1970) qui marque son apogée et qui symbolise toute une génération de pilotes Français. En 1966 est créée la Coupe R8 Gordini, une des plus célèbres formules de promotion et école de pilotage d'où sortiront Bernard Darniche, Jean-Pierre Jabouille, René Metge, Jean-Pierre Jarier, Jean-Luc Thérier ou Jean Ragnotti. Élaboration des moteurs 4 cylindres et V8 de 1 000 à 3 000 cm³ des Alpine Renault et création de l'usine Renault-Gordini de Viry-Châtillon d'où sortent les moteurs de Formule 1 de la marque jusqu'à ce jour. En 1969 Renault rachète la marque Gordini dont le nom est conservé jusqu'en 1981. Le 1er janvier 1976, René Vuaillat devient directeur de Gordini 12. En 1977 le nom de Gordini est associé à la Renault 17 Gordini de 125 ch. À noter qu'au Royaume-Uni la Renault 5 Alpine s'appelle R5 Gordini. C'est la dernière Renault Gordini avant la réapparition de la griffe 25 ans plus tard. En 1979 Amédée Gordini disparaît à l’âge de 80 ans, un an après avoir assisté au triomphe d'une Renault-Alpine au 24 Heures du Mans dont le V6 Turbo portait la griffe Renault Gordini. Il repose au cimetière de Montmartre. La place Amédée-Gordini est baptisée en son honneur dans le 15e arrondissement de Paris
Fondateur
Amédée Gordini
Italie
: :Amédée Gordini, est un constructeur automobile italien, naturalisé français des années 1950.
Il a exercé les fonctions de mécanicien, de pilote, de préparateur et de constructeur d'automobiles de course avec Fiat et Simca avant de fonder sa marque, Gordini, pour terminer sa carrière avec Renault.
Surnommé « Le sorcier » par le journaliste Charles Faroux à l’issu de la victoire en catégorie 1100 aux 24 Heures de Spa en 1938 avec un dérivé « sport » de la SIMCA 8.
La compétition
Description
Rallye Monte Carlo 1950
: : :Classement général
: : : : :Equipage
Pilote

Joseph Charles Georges Scaron
« José Scaron »
:
:
:
Co-pilote

R. Pascal
:
:
Résultat
: :